Participez aux ateliers sur le Jardin Bio ! |
Gratuit et ouvert à tous, des jardiniers amateurs, émérites ou passionnés se retrouvent à l’occasion de rencontres thématiques aux objectifs divers : convivialité, échanges de graines et de plants, partage d’expérience en matière de jardinage écologique…
Les rencontres du Club ont lieu une fois tous les mois environ et se déroulent dans des lieux divers : atelier à l’écocentre, découverte de jardins de particulier, visites de “Jardins remarquables”…
Pour nous rejoindre et participer aux prochaines rencontres, consultez notre agenda en ligne.
Quelques principes pour un jardin au naturel… |
Nourrir le sol, qui nourrit les plantes à son tour, sans engrais chimique de synthèse !
- Réaliser un compost : les déchets organiques (épluchures, restes de cuisine, toilette sèche) deviendront une ressource utilisable dans votre jardin, cela assure l’apport d’une matière organique saine.
- Couvrir le sol avec de la paille, des feuilles mortes ou du broyat de bois (BRF) est nécessaire pour garder l’humidité et protéger les plantes et le sol des aléas climatiques comme la sécheresse.
- Il est conseillé de planter des légumineuses et autres engrais verts tel que le trèfle pour couvrir le sol tout réduisant l’érosion et en apportant de l’azote au sol, élément indispensable à la construction du végétal. De plus, la rotation des cultures permet d’améliorer la structure du sol et limite la propagation de parasites spécifiques.
- Ne pas utiliser de pesticides (herbicides, fongicides ou insecticides) : au delà de s’attaquer aux organismes visés, ils font des dommages collatéraux en éliminant la faune et la flore environnante (dont les insectes auxiliaires), et en appauvrissant le sol. On favorise la lutte naturelle et les produits utilisés en agriculture biologique qui respectent la biodiversité du jardin.
- Bien associer les plantes permet de cumuler leurs bienfaits et mettre en place une diversité végétale favorable aux auxiliaires. Par exemple, le basilic se marie aussi bien avec la tomate dans l’assiette que dans le potager, car il repousse les mouches et moustiques.
- Préférer des espèces locales et adaptées à l’environnement qui correspond à la zone géographique (exposition, température, sol, etc.). Elles se développeront plus facilement et seront plus résistantes aux risques d’infection notamment.
- Aménager le jardin : les haies, les zones enherbées, les abris à insectes, etc. assurent une continuité écologique et un écosystème favorable pour les auxiliaires.